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17 juin 2010 4 17 /06 /juin /2010 16:20

Journaliste, auteur à succès, Nine Moati a publié  une quinzaine de romans dont les héroïnes, orientales, d'origine juive, parisiennes ou françaises, illuminent de leur présence la grande et la petite histoire contemporaine.

Comme tous les grands écrivains, tel Amin Maalouf, Nine Moati a un style, une voix très personnelle. La sienne possède plusieurs registres, maints échos, multiples légendes, dévoilant autant de personnages, toutes des femmes d'exception, de l'exception souvent du quotidien, dont elle est, même à son insu, la porte-parole et le passeur de mémoires. 

De la sorte sont nées "Mon enfant, ma mère", "Les Belles de Tunis", "L'Orientale", "Deux Femmes à Paris", "La Valise de Mademoiselle Lucie" et toute une ribambelle d'audacieuses...

Dans chacune de ses histoires, en effet, Nine Moati retrace le récit d'une ou plusieurs "Belles" dames qui croisent nombre de seconds rôles - féminins - tout aussi intéressants et que l'on retrouve parfois en tête d'affiche d'un autre roman.

Nine Moati brode ainsi la chronique historique de la Tunisie, de ses filles pleines de dignité, à Tunis, à Paris et même à travers toute l'Europe et ce, de 1850 à nos jours, s'attardant plus particulièrement sur la période de l'occupation allemande.

Une oeuvre, une fresque, une tapisserie merveilleuse et émouvante. Des femmes de caractère attachantes et vibrantes. Des destins inoubliables.

Des livres admirablement documentés, racontés avec le langage du coeur.

Une ode à l'amour. A l'amitié. A la solidarité féminine. Et à la vie. A la vie, tout simplement... 

* La Chronique du roman de Mlle Lucie :

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/87001-la-valise-de-mlle-lucie-le-roman-de-nine-moati

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24 mars 2010 3 24 /03 /mars /2010 17:37

in te garden                             
A une heure de Paris, le Sud 77 accueille les citadins avides de grands espaces. Cocktail de forêts et de champs, d'une ville impériale et de multiples châteaux tout aussi ravissants, sans compter les restaurants et les patisseries, la région de Fontainebleau n'en finit pas d'enchanter les promeneurs...
Les filles sont jolies, dès que le printemps revient... Et la nature de concert explose.
Début mars, les jonquilles battent le rappel. Suivies par les violettes qui se cachent au pied des arbres.
Les primevères. Le lilas. Les tulipes. Avant la sarabande fleurie et les roses du début de l'été.

Début mars, les sous bois quittent leurs parures couleur d'ombre pour se revêtir de jeunes bourgeons, vert tendre. Les bords de Seine se radoucient, tandis que les cygnes flânent le long de ses rives, et que le ciel se voit animé par des oies sauvages en pleine transhumance. Il n'y a plus à en douter : les beaux jours reviennent, les beaux jours sont là et avec eux, la promesse des belles saisons.

chateau reflet 2

Autour de Fontainebleau, il y a mille balades. Le Cyclop de Jean Tinguely, vers Milly la forêt . Le sublime château de Courances. Sans omettre celui de Vaux le Vicomte qu'il faut visiter plutôt vers juin, lorsque les fêtes se succèdent à la lueur des chandelles qui éclairent tout son parc. Il y a aussi le charmant parc d'attractions familiales du côté de Nonville. Et évidemment, Fontainebleau qui règne là dans toute sa majesté.
http://www.obiwi.fr/famille/sorties-en-famille/81135-sortie-en-famille-fontainebleau-joyeux-joyau-du-sud-seine-marnais                                                                                              

Le Sud seine&marnais invite à un art de vivre, au plaisir de prendre son temps. Ce qui n'est parfois pas évident pour les Parisien(ne)s toujours sur le qui-vive. (Croyez-moi, je sais de quoi je parle). Mais ici, bien que s'en défendent les autochtones, nous sommes en province et nous devons accepter le ryhtme qui en découle !

Pour profiter des joies de l'existence et de la gastronomie locale, quelques adresses :

Côté Sud, en plein centre de la ville :
http://www.obiwi.fr/voyage-decouvertes/escapades/85560-cote-sud-le-restaurant-du-soleil-a-fontainebleau
1 r Montebello 77300 FONTAINEBLEAU
01 64 22 00 33

Frédéric Cassel, le maître patissier et ses macarons insensés :
http://www.frederic-cassel.com
71 r Grande 77300 FONTAINEBLEAU
01 64 22 29 59

et aussi :


 
Plaisirs & gourmandises,  le royaume du chocolat.
http://www.obiwi.fr/bien-etre/sante/82419-la-chocolaterie-de-beussent-honore-la-nourriture-des-dieux
61 rue Grande,
77300 Fontainebleau
09 62 51 47 40

A noter pour les amateurs de jazz, le festival de jazz Django Reinhardt, baptisé du nom du virtuose qui élit sa patrie à Samois sur seine. Le village fait donc la fête chaque année, le dernier week end de juin : 
http://www.obiwi.fr/culture/musiques/82575-le-festival-django-reinhardt-ensoleille-la-seine-marne

Et non loin de là, un restaurant aux allures de guingette fort sympathique, au bord de l'eau
:
Chez Fernand, restaurant et concerts de jazz chaque vendredi soir.

21 Quai de la République 77920 Samois sur Seine
01 64 23 21 86

 


 


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24 mars 2010 3 24 /03 /mars /2010 14:46

Rio beach
Rio de Janeiro©ElsaPotine

Les cylistes passent, et le temps avec lui.

Demeurent quelques proverbes & citations.

"Tel que l'homme sera mortel,

il ne sera pas décontracté."

Woody Allen

"Le silence punit la violence".

Proverbe populaire.

"L'ignorance punit l'insolence".

Autre proverbe.

Pour conclure, référons-nous à Confucius :

"Etre humain, c'est aimer les hommes,

Etre sage, c'est les connaître".

Bon début de printemps !

Et comme diraient nos amis Italiens :

"Laisse ouverte une fenêtre au destin".

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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 09:43

La frontière entre l’imaginaire et le mensonge se réduit. Les deux se confondent. Dans le miroir des illusions, le virtuel est roi.

L’imaginaire permet a priori de créer et d’approcher toutes les formes artistiques. Le mensonge entraîne dans un songe aux moyens d’artifice souvent dangereux. Je pense à La Fille du RER, le formidable film d’André Téchiné.


Formidable film, disais-je. Formidable scénario, formidable découpage.

Le cinéaste montre en première partie dans quelles circonstances une jeune fille est entraînée à vivre une histoire d’amour avec un type un peu marginal mais la romance tourne mal. Dans la seconde partie, il présente les conséquences de ce dérapage. La fille blessée, incomprise, invente une agression de caractère raciste dont elle se prétend la victime. Ce fait divers va ensuite atteindre des proportions – médiatiques – insoupçonnées. Un des protagonistes avoue lors du dénouement du drame qu’il en écrira plus tard certainement un livre : l’histoire d’un mensonge.

 

Jusqu’où faut-il aller pour se sentir exister ? Dans la vraie vie ou à la télé.

(Se rapporter à l’article : Le jeu de la mort à travers l’œil d’Elsapotine)

La Fille du RER, martyr d’une existence qu’elle n’a pas voulue. Proie (facile) d’un destin, d’un quotidien cruel. Héroïne de tragédies modernes en perte de repères telle le personnage de Brigitte Bardot dans La Vérité, le film de Clouzot. L’esprit embrouillé par les galères et le désespoir, elle ne sait pas qui elle est, elle s’est elle-même perdue de vue, elle ignore la force de cette nature humaine dont elle est pétrie.

 

L’être humain est-il juste une somme de modèles ? Ou plutôt la somme de ses expériences. Je préfère miser sur la seconde perspective. Même si cela promet un éclairage tardif… à l’heure du bilan, c'est-à-dire à l’aube de l’âge vermeil.

 

Aujourd’hui, chacun peut sélectionner différentes options. Tendances, les options ! On barre ou on ajoute la mention souhaitée. Puis on valide. Sans forcément visualiser.

L’important, quelles que soient les circonstances et les conséquences, est d’opter pour la sincérité. Sincérité : caractère de ce qui n’est pas truqué, qui est authentique. La qualité première des comédiens et des personnes qui font acte, tous conviés dans cette divine comédie que représente la vie.

 

Vérité ! Sincérité ! La Fille du RER semble sincère, sincère dans sa détresse. Même si elle se compromet dans un faux témoignage, celui-ci ne traduit que l’expression d’une souffrance. Une invitation à traverser le miroir des apparences et des illusions. Pour ne voir qu’une fille, parfaite illustration de la jeunesse actuelle, en quête d’un avenir meilleur.

Une comédie géniale :
http://www.obiwi.fr/ecrans/cine/85974-tout-ce-qui-brille-special-filles

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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 10:12

Le Jeu de la mort, le documentaire de Christopher Nick, diffusé sur France 2 , met en scène un faux jeu TV dont l’enjeu véritable est de tester le rapport de soumission des candidats face à l’autorité phénoménale qu’exerce la télévision. Vaste sujet. J'ai déjà écrit à ce sujet mais ici, j'ai encore besoin d'insister !

 

Le jeu de la mort, mode d'emploi
Un documentaire et un débat en prime time pour une soirée exceptionnelle afin d’analyser le fait que la télévision a (ou non) le pouvoir de tuer.

Schéma basique : des candidats, une présentatrice et un public. Pour ceux qui ne sont pas au courant malgré l’intense battage médiatique autour de cet événement, la règle du jeu est simple. Il y a un candidat seul enfermé dans un caisson face à un groupe de candidats qui lui posent des questions et qui doivent le sanctionner en cas de mauvaise réponse par un châtiment, des décharges électriques pouvant atteindre plus de 450 volts. Ceci pour dénoncer les programmes fondés sur la violence et l’humiliation qui amènent ni plus ni moins à une mise à mort des volontaires…

Les enfants & adolescents face aux jeux de la mort
Quand on regarde ce genre de débats, on pense immédiatement aux jeunes. Cela effraie et terrifie. Et s'ils se retrouvaient dans pareille situation, entraînés malgré eux dans une aventure sans limites ? Comment les prévenir ?
Tout n'est qu'une question d'éducation. En conclusion de cet article, je propose comme issue le remède spirituel. Dans un monde où l'on cède à la facilité, en tant que parent, j'ai appris qu'il était bon d'amener sa progéniture à découvrir d'autres loisirs que ceux des copains et de sortir des sentiers battus.
L'ennui n'est pas une maladie mais source de vacances ; dans la vacuité, l'imagination se développe. 
La désobéissance même si parfois elle ulcère le chef de famille qui sommeille en chacun, est un signe de bonne santé. C'est en tout cas, ce que m'enseigne ma fille. Il est bon de refuser les - mauvaises - influences. Et même les bonnes ! Il vaut mieux penser par soi-même. Se démarquer en fait de l'éducation standardisée et donc, on y revient, de prendre du recul par rapport aux films, aux jeux vidéo et aux programmes de la télévision...
Stoppons-là. Il ne s'agit pas ici d'écrire une thèse... Boris Cyrulnik a écrit sur la désobéissance mieux que quiconque... *

Le jeu de la mort dans l'histoire

La recette ne date pas d’hier. Dans l’antiquité, il y avait les jeux du cirque. Dans les années 1930, comme l’a filmé Sidney Pollack, On achevait bien les chevaux et on organisait des marathons de danse poussant les participants à poursuivre jusqu’à l’épuisement voire même à avoir des défaillances cardiaques. Est-ce utile de poursuivre ? De parler du nazisme, des trois millions de lettres, presque toujours anonymes, pour dénoncer son voisin dans la France occupée ? Ou encore de la mort toute récente du supporter du PSG ? La liste de ce fascisme ordinaire, de l’hystérie (collective) ordinaire ne fait pas honneur à l’espèce humaine.

Et chacun de le souligner. Souhaitons que ce genre de documentaire ouvre les consciences.

 

Le débat

Deux en un. D’abord un premier débat avec certains participants et l’auteur du sujet. Une sorte de debriefing en direct. Poignant et terrifiant. Je ne suis pas prête d’oublier le regard d’un des candidats qui a poursuivi jusqu’au bout et a obéi jusqu’au bout à ce que la présentatrice et le public, présents lors de l’enregistrement, lui dictaient. Poignants aussi, les témoignages des justes qui ont osé quitter le plateau en cessant le supplice du candidat « sur la sellette ».
Puis un second débat a suivi avec des philosophes et des spécialistes critiques du petit écran.

 

Au-delà du blabla

Je vous fais grâce du blabla. Non que je méprise le débat. Mais il n’a d’intérêt que si l’on y participe.

En revanche, les sentiments ou les réactions que cela fait naître en chacun m’intéressent.

Pour ma part, comme la majorité certainement, j’ai été choquée. Au-delà même de la question : "jusqu’où peut-on aller pour créer un spectacle et faire de l’audimat ?" je note surtout l’absence totale de solutions que l’on nous propose. Oui, il y a des analyses, des constats, tout ce que vous voudrez. Mais de solutions, nada !


La dictature du mal 
Comment se conduire face à l’horreur ? Savons-nous résister ? Savons-nous entrer en rébellion et désobéir, seul contre tous ?

Rejetant le jugement moral par trop facile, les justifications, il faut nous remettre en question. Dans notre société actuelle, tout peut arriver. Comment réagir ? Et comment trouver la solution la plus juste ?

Nous voilà face au néant et aux questions qu'il engendre. L’homme confronté à la plus triste des solitudes.

Pour ma part, bien que je ne prétende pas détenir LA vérité unique et exemplaire, je ne vois qu’une solution, celle de faire appel à Dieu et de prier. Contrairement aux idées reçues, la foi n’avorte pas l’action. Mais elle rend plus fort, elle éclaircit les idées. Elle amène à la compassion et entretient en l’être humain des valeurs basées sur le respect de la vie.
Aujourd’hui, comment résister ?
En invoquant le ciel, vous dirais-je. On expérimente bien des jeux sur les ultimes limites à (ne pas) dépasser, pourquoi ne pas essayer à titre individuel, un exercice qui apaise, rend tout à la fois plus fort et nous relie à une énergie poistive. A vous de jouer !
 

 

En complément de ce premier documentaire, le jeudi 18 mars à 22 h 45, la suite sur France 2:

Le temps de cerveau disponible

Le jeu de la mort de Christopher Nick est aussi un livre.


* Les vilains petits canards (Poche)
de
Boris Cyrulnick

http://programmes.france2.fr/jusqu-ou-va-la-tele/
http://www.obiwi.fr/ecrans/tele/85898-jeu-de-la-mort-zone-extreme-a-la-television

http://icthus.over-blog.com/categorie-10078668.html

http://viechretienne.catholique.org/pu/

http://www.protestantismeetimages.com/

http://www.bouddhiste.org/

 

http://www.france2.fr/
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15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 23:53

Autrefois, les préados lisaient Le Club des Cinq, les aventures d’Alice dans des collections rose ou verte, Pif le chien ou Mickey format journal… Bien que ces titres existent toujours avec succès, d’autres héros, d'autres titres ont vu le jour.

 

Côté livres

 

Une préférence pour Alex Rider, le super espion de 14 piges qui a déjà une dizaine d’enquêtes (et autant de tomes) à son actif.

 

Les Lauréats qui illustrent la nouvelle collection de Gallimard/Sncf et parmi celle-ci, un petit bijou : Vague de panique d’Aubert & Cavali.

 

Caracol crimes, admirablement écrit par Yves Hughes, met en scène un crime commis au milieu d’un élevage d’escargots. Un chef d’œuvre ! Cocktail d’humour et de tendresse. A ne surtout pas manquer.

 

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/85691-defi-polar-alex-rider-et-autres-thrillers-pour-juniors

 

Sans oublier un roman historique, totalement original : Quatre garçons en culottes courtes de Sophie Collet aux éditions Edilivre. Pour l’interview de l’auteure, consulter ce lien :

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/85873-sophie-collet-et-ses-quatre-garcons-en-culottes-courtes

Côté magazines

 

Géo junior et autres merveilles du même genre nous ont préparé à accueillir de nouveaux magazines absolument originaux, pour ne nommer que Arkéo, Le petit Léonard, Virgule & Cosinus.

 

http://www.obiwi.fr/famille/jeux-livres/82174-panorama-de-la-presse-junior-arkeo-le-petit-leonard-virgule-cosinus

 

Des Librairies au cœur de la Capitale

 

Pour accompagner dans leur croissance nos bambins – qui n’en sont plus –, il faut sans cesse faire preuve d’imagination. Quand on en manque, il faut recourir, soit à des sites, soit à de bonnes librairies. A Paris, celle des Enfants du musée et Nature & Découvertes, toutes deux situées sous la Pyramide du Louvre, regorgent de formidables merveilles…

 

http://www.obiwi.fr/famille/sorties-en-famille/81813-defi-nuit-des-musees-les-enfants-du-musee-une-oasis-dans-le-louvre

 

Librairie Jeunesse du Musée du Louvre:
Les enfants du musée
Musée du Louvre
34 – 36, quai du Louvre, Paris
Tel.: 01 40 20 54 28
Ouvert tous les jours de 9 h 30 à 19 h sauf le mardi. Nocturne mercredi & vendredi.

http://www.rmn.fr/

 

Nature et Découvertes

Carrousel du Louvre 99 r Rivoli 75001 PARIS

01 47 03 47 43

http://www.natureetdecouvertes.com

 

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15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 14:33
Qu'elles soient nos soeurs, nos mères, nos amies, nos aînées nous ouvrent la voie de notre devenir.

Comment ne pas apprécier leurs rides, leurs fesses un peu trop effilées ou potelées, leurs seins qui ont connu la maternité, leurs yeux qui sont revenus de tout, y compris des chagrins et des joies ?

L'amour de soi commence par le regard que l'on porte sur les autres. Et vis versa. On ne peut aimer, respecter et estimer ses semblables que si l'on sait s'aimer, se respecter et s'estimer.

Comment consoler la petite fille en soi si l'on déteste les enfants ?

Comment éprouver de la tendresse pour soi, à l'avenir,  si l'on rejette l'image de la femme mature ? De même que les femmes "enrobées" ou d'autres plus "décharnées"...

Toutes, nous avons une enveloppe charnelle synonyme d'humanité, loin des standards en papier glacé. Cette enveloppe qui, par son vécu, soudain, nous rend accessible, autant dans sa vulnérabilité que par la force qu'elle dégage. Pour ne pas dire : la force de la vulnérabilité.

Alors merci à toutes les nanas, la cinquantaine au fusil, qui nous montrent l'exemple. Merci à ma maman, à mes frangines, à ma fille, à Charlotte Rampling, Susan Serandon, Meryl Streep, Diane Keaton, Emma Thompson, Jane Birkin, Catherine Jacobs, Caroline Cellier, Muriel Robin, Line Renaud et tant d'autres... Merci les filles !

http://www.obiwi.fr/ecrans/cine/85846-thelma-louise-et-chantal-housewives-no-more-desesperate
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11 mars 2010 4 11 /03 /mars /2010 16:56

Complaisance, goût de plaire ou véritable sacerdoce ? ElsaPotine dresse le portrait des personnes qu’elle interviewe avec bienveillance. Une démarche à contre-courant de la tendance actuelle. Zoom sur le phénomène.

 

Le plus grand altruiste du monde a dit que « Nul ne pouvait s’élever seul ». Il invitait ainsi chacun à accepter l’autre dans sa différence et à obéir à la seule loi fondamentale d’aimer l’autre comme lui-même.


D’un point de vue personnel, ce chemin de vie est un cahier de charges à respecter tout au long de sa route. D’un point de vue plus professionnel, alors que j’officiais comme journaliste dans les salles de rédaction, à des années lumière de ses préceptes, je les rejoignais en décidant de faire le portrait des « gens », artistes, personnalités du monde culturel et autres pour mettre en lumière leurs qualités. L’exercice semblait pour les observateurs plus facile que celui de la critique. Mais il n’en est rien : trouver le sésame positif de chaque personne demande de l’écoute. 

Ensuite sur Obiwi, pour répondre au dynamisme du slogan obiwesque, j’ai publié mes passions composées de sujets cinéma, ecosystem, musique, littérature, arts plastiques et j’ai aussi exprimé mon goût pour les autres. Et surtout pour leurs talents.


Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais quand je rencontre quelqu’un de bien, ça me rend meilleure, mon regard sur l’humanité s’adoucit, mon enthousiasme s’en trouve nourri, et l’espérance me submerge.

D’où de multiples rencontres, bonnes, chaleureuses, constructrices. Une coach théâtre, une décoratrice d'intérieur, un peinte photographe, un coach en communication, un inventeur concepteur, une peintre-sculpteur, et un éducateur hors norme s'inscrivent dans mes coups de cœur, mon Best of, en liens, ci-dessous :


http://www.obiwi.fr/bien-etre/forme/81891-christine-gavillet-une-coach-theatre-disponible-qui-accompagne-l-etre-en-recherche


http://www.obiwi.fr/interieurs/deco-design/80872-albana-une-decoration-pour-le-meilleur-du-bien-etre

 

http://www.obiwi.fr/culture/plus-de-culture/81022-gerard-gentou-un-peintre-photographe-amoureux-de-la-beaute


http://www.obiwi.fr/bien-etre/sante/83979-richard-segalowitch-le-coach-qui-enseigne-l-art-de-se-relier-aux-autres

 

http://www.obiwi.fr/la-vie-d-obiwi/invitations/84827-top-obiwi-2009-herve-gavillet-un-inventeur-concepteur-decorateur-de-genie

 

http://therese-vieuille.profilbioexpress.com/

 

http://xavier-griache.profilbioexpress.com/

 

Un portrait d’artiste que j’aime bien même si ce n’est pas moi qui l’ai signé !

http://www.obiwi.fr/culture/plus-de-culture/81289-tina-agelys-un-ovni-dans-le-monde-de-la-photo

Et un hommage pour :
http://www.yvonnetrubert.fr/

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11 mars 2010 4 11 /03 /mars /2010 16:54

Fervente de Stefan Sweig, Paul Morand, Joseph Kessel, j’aime comme livres de chevet, ce que j’appelle désormais mes classiques, tous les livres de Stefan Sweig (excepté La Pitié dangereuse), Léon L'Africain d'Amin Maalouf, le Chanel et le Fouquet de Paul Morand, le Mermoz de Kessel, La Reine de Saba de Marek Halter et Des jeunes en espérance d'Yvonne Trubert.

Sortie de ce panthéon d’auteurs ô combien appréciés, je n’ai de cesse d’en découvrir d’autres pour exalter mon quotidien. Aussi vais-je louer ceux qui m’ont enivrée ces derniers mois. Un éventail très hétéroclite de jeunes talents, de gloires confirmées et d’outsiders qui ont provoqué l’évènement.


Jeunes talents

Perrine Luc dans Fabrique-moi des ailes évoque des sujets graves, la perte d’une mère, d’un être cher, le suicide, et donc la mort, et donc la vie, et ce, avec une élégante légèreté d’autant plus influente qu’elle touche au plus profond des sentiments.

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/81658-fabrique-moi-des-ailes-un-conte-d-aujourd-hui

 

La Dépression des mimosas, le roman de Vincent Didier, parle d’une histoire d’amour mais pas seulement. Cette histoire souligne surtout la difficulté de vivre du héros qui l’empêche d’exprimer ses sentiments et d’aimer véritablement. Cependant, ne vous fiez pas à sa page 4 de couverture : elle ne rend pas grâce à la valeur de cet ouvrage. Au contraire, elle le dessert. Alors traversez le mur des apparences et immergez vous dans La Dépression des mimosas, l'indispensable mode d’emploi pour mieux comprendre certains représentants du sexe dit fort.

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/85478-la-depression-des-mimosas-un-roman-indispensable-pour-feter-la-saint-valentin

 

L’art de la nouvelle peut s’avérer périlleux. Mais Yves Aillerie, auteur et homme courageux ne craint pas les défis. Et il a raison, car il y excelle, surtout dans Pardon, Madame !

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/84476-pardon-madame-attention-joyau

 

Couleurs France, ouvrage qualifié de roman par Tina Agelys, son auteur, traite du parcours de l’après adoption en France bouleversant les genres. A la lecture des aventures de cette famille composée de deux parents blancs et de deux enfants d’origine africaine, on pressent un vécu capté sur le terrain, une « docu-fiction » et on découvre un écrivain à ne pas manquer.

http://www.obiwi.fr/famille/mes-enfants-et-moi/80797-couleurs-france-le-droit-au-bonheur-des-enfants-adoptes

 

Gloires confirmées

Idole des jeunes dans les années 60’s, personnage culte de la chanson française, Françoise Hardy se livre dans Le Désespoir des singes, son autobiographie, avec élégance et sagesse, comme à son habitude.

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/82173-l-emouvante-autobiographie-de-francoise-hardy-le-desespoir-des-singes

 

Comment peut-on aimer l’œuvre de Beigbeder, une personne pour laquelle on éprouve un certain agacement ? Or, il se trouve que dès la première ligne, son dernier ouvrage m’a littéralement transportée. Terminée l’aversion. Je ne suis même pas tombée en compassion. Non! C’est encore plus fort que cela : j’ai adoré cet (excellent) Roman français.

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/83882-et-vous-que-lisez-vous-un-excellent-roman-francais-de-beigbeder

 

Une géniale surprise

Dans la foultitude des romans post apocalyptiques, tendance bio ou tendance éso (térique), dans le genre le Da Vinci Code, Le signe, Colère, et La prophétie de cristal, La terre avait séché les devance tous. Court, percutant, asphyxiant ! Génial ! La terre avait séché permet d’abandonner le grand spectacle pour entrer en littérature sur un texte de Laurence Cossé et des photographies de Rémy Artiges.

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/85498-livret-eco-bio-la-terre-avait-seche-de-laurence-cosse-et-remy-artiges

 

Et encore :

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/80791-zoom-sur-le-roman-australien

 

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/80793-enfantillages-la-prose-de-jacques-perret-un-regal-pour-les-sens

 

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/85682-defi-polar-millenium-trilogie-culte-revolutionne-le-genre-policier-et-promet-une-suite

 

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/81094-la-reine-des-mousselines-le-chant-d-une-desenchantee


http://www.obiwi.fr/culture/lectures/86011-selon-carl-aderhold-les-poissons-ne-connaissent-pas-l-adultere 

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11 mars 2010 4 11 /03 /mars /2010 09:32

L'environnement, l'écologie nous amènent à revoir intégralement notre façon d'être, de consommer et d'exister. Mais il s'agit en priorité de bien penser et de bien œuvrer – individuellement – afin que chacun entraîne un plus grand nombre à le suivre. « L’écosystem », la rubrique d’ElsaPotine publiée par Obiwi a donc pour objectif de parler de ceux qui y contribuent, des personnes, des entreprises, des associations, des groupes d’individus ou des actes qui participent à rendre la vie et donc la Terre plus belle, plus humaine, donc plus écologique, en tous domaines et dans tous les sens du terme.

ElsaPotine© A l’île d’Yeu

   phare ile d'yeu 

La liste de ces Justes est longue et cela me permettra d’y revenir à différentes reprises. Aujourd’hui, je préfère vous adresser ci-dessous les liens des articles déjà rédigés à ce sujet et vous « poster » des photographies prises au hasard de mes voyages pour louer la beauté de notre planète.


Dernièrement, lors d’une conférence à propos de « la Génétique ou le langage sacré du Vivant », j’ai entendu le Dr Maria Isabel Ashratz du Brésil expliquer les vertus thérapeutiques de la rapamicine, une mousse que l’on recueille à flancs de volcan sur l’Ile de Pâques et que l’on utilise comme médicament en chimiothérapie pour le traitement du cancer. « La rapamicine, disait ce médecin, pourrait avoir encore de meilleurs résultats si le corps médical et pharmaceutique remerciait la terre qui la produisait. » J’ai apprécié l’honnêteté de cette intervenante. Qui pense aujourd’hui à remercier la Terre des bienfaits qu’elle nous prodigue ? Mais c’est par ce genre de gestes et de pensées, qu’il me semble important de faire avancer l’espèce humaine.

ElsaPotine© Orchidées brésiliennes
orchidées

En attendant, merci à tous ceux, amoureux du beau, amoureux du vrai, qui m'ont inspiré ces chroniques :

http://www.obiwi.fr/la-vie-d-obiwi/i-love-obiwi/82105-ecosystem-par-elsa-potine-une-nouvelle-rubrique-sur-obiwi

http://www.obiwi.fr/bien-etre/sante/81502-sevene-pharma-un-nouveau-label-bio-en-pharmacie

http://www.obiwi.fr/bien-etre/tendances-bio/80854-plantes-medicinales-d-hier-et-d-aujourd-hui-un-livre-sublime

http://www.obiwi.fr/bien-etre/sante/81486-les-plantes-de-marie-de-mazet

http://www.obiwi.fr/bien-etre/sante/81500-jean-valnet-le-prophete-de-l-aromatherapie

http://www.obiwi.fr/culture/lectures/82415-jean-marie-pelt-un-des-plus-fervents-defenseurs-de-l-environnement

http://www.obiwi.fr/bien-etre/sante/81455-jill-bolt-taylor-la-video-de-sa-conference-a-fait-le-tour-du-monde

http://www.obiwi.fr/ecrans/cine/85242-oceans-le-ballet-ecolo-animalier-de-jacques-perrin

http://www.obiwi.fr/ecrans/cine/82261-home-obiwi-a-l-avant-premiere

http://www.obiwi.fr/bien-etre/sante/81319-le-sucre-le-faux-ami

http://www.obiwi.fr/tag/ecosystem_par_elsapotine

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  • : Le Blog Culture d'"Elsapotine.news" parle de cinéma, de littérature, de théâtre, des artistes aussi, et de leur force créative. Autant l’avouer, ElsaPotine est une fille à histoires. Pas du genre à en faire. Non, mais à les retranscrire. Des histoires avec un grand H. Celles qui mettent en lumière les belles personnes et le quotidien.
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  • L'Habit ne fait peut être pas le moine, mais les mots démontrent bien la femme. Par mes écrits, vous comprendrez qui je suis. Celle qui trottine ! Elsa La Potine...
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